Chaque mois, retrouvez les petites questions de Tanneguy Arrou sur l’histoire de la commune, et les réponses qui vont avec ! Ce mois-ci, les Douzillacois ont retrouvé les traces des animaux du territoire, et partent sur celles de meurtres non résolus.
La photo « Histoire de Douzillac » : Quelques lieux-dits 2
La réponse de Tanneguy Arrou
En effet quelques lieux-dits à Douzillac tirent leur inspiration de la faune locale :
COUCOU : Nous sommes là au bord de l’Isle en bas des Bernardoux et à gauche de Fonpeyre. Au printemps le coucou s’entend très souvent au bord de la rivière. Pour sur les générations passées l’avait particulièrement remarqué à cet endroit.
COMBE-CHATTE : ? Ce lieu -dit se situe dans les bois de Douzillac
LA BEAURONNE : Nous l’avons déja vu il y a quelques mois. Tout comme la Bièvre,le Beuvron,la Beuvrone… La Beauronne tire son nom du latin beber qui désigne l’animal brun qu’est le castor.
D’autres animaux ont inspiré quelques villages voisins : « le trou du renard » se trouve à St Germain du Salembre. A Sourzac on a « la patte du chien » et « la combe des griffons ». Souhaitons longue vie à nos cigognes douzillacoises!
La photo « Histoire de Douzillac » : Un village où il fait bon vivre
La question de Tanneguy Arrou
Tout à l’ouest du village dans les bois se trouve le lieu-dit » la fille morte ». Des archives récemment exhumées ont permis de ressusciter un autre lieu-dit oublié : « l’homme mort » dans la plaine cette fois-ci. Pourtant en matière criminelle, Douzillac n’a jamais fait la une des gazettes royales ou impériales.
Mais que diable signifient ces appellations ? Un appel est lancé aux plus fins limiers douzillacois !